Interprétation des
images
Bactéries pathogènes
Petit rappel
Les bactéries pathogènes sont analysées grâce à la lumière UV, qui permet d’observer plus profondément, les rayons vont jusqu’au milieu de l’épiderme. Elle permet de voir les résidus laissés par les bactéries pathogènes et détecter leur présence.
Cette lumière permet de distinguer l’état des pores dilatés, de définir par quoi ils sont obstrués : en rouge, il y a la présence des bactéries de l’acné, les propionibacterium; en jaunes/vertes, il s’agit de sébum; en blanc les pores sont bouchés par des cellules mortes.
En savoir plus sur les bactéries pathogènes
Notre peau abrite des milliards de micro-organismes, soit autant que le nombre de cellules qui constituent notre corps. Cet ensemble de bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes constitue notre microbiote cutané (ou flore cutanée). Cet écosystème vivant au niveau de l’épiderme constitue notre première barrière de défense avec l’extérieur. Ces bonnes bactéries colonisent la peau pour ne pas laisser les bactéries pathogènes envahir le corps. En revanche, les bactéries néfastes présentes dans l’environnement peuvent coloniser la peau et causer des infections. Ils vont entrer en compétition avec ceux du microbiote cutanée et le déséquilibrer. Ceci est le cas par exemple pour l’acné où les bactéries Propionibacterium acnes se sont logés et développés dans les pores pilosébacés.
Petit rappel
Les bactéries pathogènes sont analysées grâce à la lumière UV, qui permet d’observer plus profondément, les rayons vont jusqu’au milieu de l’épiderme. Elle permet de voir les résidus laissés par les bactéries pathogènes et détecter leur présence.
Cette lumière permet de distinguer l’état des pores dilatés, de définir par quoi ils sont obstrués : en rouge, il y a la présence des bactéries de l’acné, les propionibacterium; en jaunes/vertes, il s’agit de sébum; en blanc les pores sont bouchés par des cellules mortes.
En savoir plus sur les bactéries pathogènes
Notre peau abrite des milliards de micro-organismes, soit autant que le nombre de cellules qui constituent notre corps. Cet ensemble de bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes constitue notre microbiote cutané (ou flore cutanée). Cet écosystème vivant au niveau de l’épiderme constitue notre première barrière de défense avec l’extérieur. Ces bonnes bactéries colonisent la peau pour ne pas laisser les bactéries pathogènes envahir le corps. En revanche, les bactéries néfastes présentes dans l’environnement peuvent coloniser la peau et causer des infections. Ils vont entrer en compétition avec ceux du microbiote cutanée et le déséquilibrer. Ceci est le cas par exemple pour l’acné où les bactéries Propionibacterium acnes se sont logés et développés dans les pores pilosébacés.
